Décryptage de l’étude de REXECODE sur l’impact du numérique sur la réduction de l’empreinte carbone

 

Rexecode, premier centre de recherche privé en économie, a publié le 20 janvier dernier une étude portant sur l’impact du numérique sur la croissance économique et les émissions de gaz à effet de serre en France*. La conclusion est sans appel : l’essor du numérique est favorable à la croissance et à la réduction de l’empreinte carbone de la France !

Pour bien comprendre : l’empreinte carbone du numérique français (11 MtCo2e) est aux deux tiers importés, via la production et le transport de matériel depuis l’étranger, alors que le tiers restant est dû à l’électricité consommée par les matériels numérique. Cela représente donc 1.8% des émissions de GES nationales.

Le matériel numérique n’est donc pas directement émetteur de GES, c’est l’énergie nécessaire à sa production et à son fonctionnement qui est émettrice. C’est pourquoi l’empreinte carbone du numérique est en réalité très dépendante de l’intensité carbone de l’énergie des pays qui fabriquent et utilisent ce matériel. Or, l’intensité carbone de l’énergie française est particulièrement basse, deux fois inférieure à la moyenne mondiale. Avec de surcroit un mix énergétique français particulièrement décarboné, qui explique que le même appareil branché en France émet 10 fois moins de GES que s’il était branché en Chine. D’où l’intérêt d’œuvrer pour la réduction partielle voir totale de l’intensité carbone nécessaire à la fabrication et au fonctionnement du matériel numérique avec un mix d’énergie décarboné, et d’améliorer l’efficacité énergétique avec des matériels moins énergivores.

Les observations de cette étude conduisent à encourager le développement du numérique, tout en étant très attentif à l’efficacité et la sobriété énergétique des usages, à une bonne gestion de la durée de vie des appareils et de leur réemploi/ réparation ainsi qu’à la gestion des déchets et au recyclage.

Et plus encore, le numérique peut être favorable à la réduction des émissions de GES. Prenons un exemple d’actualité : une étude de l’Ademe** indique que la mise en place de télétravail à raison de 2.9 jours par semaine amène directement à une réduction de 13% des émissions de GES émises par un salarié moyen (26% en moins par l’arrêt des trajets quotidiens, et 13% de plus lié à la consommation accrue de chauffage et d’électricité à domicile). Or, ce télétravail est uniquement possible grâce au développement du numérique, que ce soit par le déploiement d’infrastructure ou l’équipement informatique. Le numérique permet également de suivre en temps réel la communication et l’optimisation des systèmes, qu’il s’agisse de la production d’électricité ou encore de la gestion du chauffage dans les bâtiments.

Et, cerise sur le gâteau : le numérique représente un véritable atout pour la croissance économique d’un pays ! L’étude démontre en effet que les pays ayant les secteurs numériques les plus développés sont ceux qui ont également connu la plus forte croissance sur les deux dernières décennies.

En conclusion, la transition écologique se fera grâce à une transition numérique, avec une meilleure utilisation de l’énergie, la possibilité de décarboner l’énergie nécessaire au numérique et, en prime, un renforcement de la croissance économique de notre pays.

Pour en savoir plus, retrouvez l’étude complète par ici

* l’étude est centrée sur la problématique économique globale du développement du numérique en tenant compte de ses conséquences sur les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi sur le revenu national et la croissance économique. Elle n’aborde pas les aspects sociétaux et de gouvernance, les aspects cybersécurité, les aspects environnementaux autres que les émissions de gaz à effet de serres.

** Ademe 2015 « Evaluation de l’impact du télétravail & des tiers-lieux sur la réduction des consommations d’énergie et des émissions de gaz à effet de serre et sur l’organisation des entreprises ».

 

La France s’est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050. Pour y arriver, et franchir avec succès la première échéance du « Fit for 55 », elle pourra compter sur la filière électrique qui y prendra toute sa part, soutenue par des politiques publiques ambitieuses.

Donner de la visibilité à tous les segments de la filière électrique est en effet une condition sine qua non pour lui permettre de sécuriser les plans d’investissement, de charge et d’embauches de ses entreprises sur le territoire national. Forte de 600.000 emplois en France, la filière regroupe plus de 8.500 entreprises parmi lesquelles des grands groupes, des ETI, des PME et des TPE.

Ces entreprises produisent, transportent ou distribuent une électricité décarbonée. Elles apportent des technologies électriques et numériques, des services et solutions intégrées pour l’industrie, le bâtiment, la mobilité, la ville et les territoires.

Les représentants de la Filière Electrique partagent leur diagnostic et leurs solutions pour relever les grands défis de la transition écologique.

Retrouvez la déclaration commune de la Filière Electrique, portée par 10 fédérations et associations professionnelles.

Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion et Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, ont signé ce jour avec Nicolas Guérin, président du comité stratégique de la filière des infrastructures numériques, un protocole-cadre national d’engagement de développement de l’emploi et des compétences (EDEC) pour la filière des infrastructures numériques.

La France, par l’action de l’Etat, des collectivités et des opérateurs de communications électroniques, est pleinement engagée vers la généralisation de la fibre prévue en fin 2025. Si cet effort industriel est unique en Europe, la filière[1] doit anticiper le ralentissement progressif des besoins en main d’œuvre à mesure de l’achèvement des déploiements, avec un pic d’emplois à mobiliser en 2022 (près de 40 000).

A l’inverse, la généralisation du très haut débit va permettre la création de nouveaux usages relevant du déploiement de la 5G, des territoires connectés, de l’internet des objets ou encore de data centers, qui entraîneront la formation de nouveaux écosystèmes industriels et la création de nouveaux métiers. Cette transition entre les besoins d’aujourd’hui et de demain doit être préparée, notamment en anticipant le besoin en compétences et en facilitant les mobilités professionnelles vers les emplois du secteur.

Ce nouvel accord d’engagement de développement de l’emploi et des compétences, qui fait suite à celui concernant la fibre optique (2017-2020), s’inscrit dans cette ambition. Il permettra de sécuriser l’emploi et les passerelles de formation vers les nouveaux métiers des infrastructures numériques. 13 000 entreprises, dont une majorité de TPE-PME, et plus de 140 000 emplois directs sont concernés.

 « Il est essentiel pour le Gouvernement d’accompagner le déploiement de l’innovation dans la filière des infrastructures numériques, qui irrigue l’ensemble de notre économie, par une politique active en matière d’emploi et de formation. », déclare Elisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion.

« Le défi des compétences représente un enjeu-clé pour l’ensemble de la filière française des infrastructures numériques, qui sera confrontée à des besoins nouveaux dans les années à venir. La signature de ce protocole est décisive pour anticiper et préparer cette transition », déclare Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques

« Je me félicite de la signature de ce nouvel EDEC qui témoigne de la capacité de la filière des infrastructures numériques à se projeter dans l’avenir. […] Cet engagement témoigne par ailleurs du dynamisme et du poids de notre filière, puisque cet accord-cadre bénéficiera à environ 13 000 entreprises et plus de 140 000 emplois directs, pour environ 40 milliards d’euros de chiffre d’affaires » indique Nicolas Guérin, président du comité stratégique de la filière des infrastructures numériques.

[1] Branches du Bâtiment et des Travaux Publics (FFB, FFIE, FNTP, SERCE), branches de la Métallurgie (UIMM, FIEEC, SYCABEL, AFNUM, IGNES), branche des Télécommunications (HUMAPP, FFTélécoms, INFRANUM). Branches du Bâtiment et des Travaux Publics (FG-FO Construction, CFE-CGC BTP, FNCB CFDT, BATI-MAT-TP CFTC, FNSCBA – CGT), branche de la Métallurgie (CFE-CGC, FO Métallurgie, C.F.D.T., C.G.T.), branche des télécommunications (F3C-CFDT, CFTC Media+, FCCS CFE-CGC, FO Com, CGT-FAPT).

 

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La FIEEC est partenaire de l’édition 2021 des Rencontres Internationales de la French Tech (RIFT) de Business France qui aura lieu le mercredi 17 novembre prochain.

Malgré le contexte, les entreprises de la French Tech ont montré en 2020 et 2021 leur dynamisme, leur agilité et leur résilience, notamment à l’export. Beaucoup d’entre elles ont réussi à saisir des opportunités liées à l’accélération importante de la digitalisation des économies.

La French Tech semble aujourd’hui en en pole position européenne pour la reprise. Evolution positive de l’activité export, climat des affaires favorable, levées de fonds record et nouvelles licornes… autant de signaux positifs qui semblent présager de la capacité de l’écosystème à continuer son accélération en 2022.

Au programme :

  • Une plénière centrée sur un état des lieux de la tech dans le monde et des opportunités émergentes à saisir, avec la présence dans le panel de Clara CHAPPAZ, nouvelle Directrice de Mission French Tech,
  • Des ateliers qui s’intéressent à maitriser ses risques à l’international avec un zoom sur les Etats-Unis et les perspectives à l’international du très haut débit,
  • Des RDV en one-to-one (physiques ou virtuels) avec plus d’une quinzaine d’experts pays et tech sur le Nigeria, la Turquie, la Suisse, l’Allemagne, les Etats-Unis, l’Espagne, le Portugal, le Danemark, l’Islande, la Finlande, l’Estonie, la Suède, la Roumanie, la Cote d’Ivoire, l’Autriche, la Pologne, le Moyen-Orient, le Royaume-Uni et l’Irlande.

 

 

Plus que la reprise, c’est la conquête que visent aujourd’hui les entreprises innovantes françaises. Participer à l’émergence de leaders technologiques européens en aidant les entreprises à se projeter de nouveau à l’international plus rapidement et plus efficacement. Tel est l’objectif des RIFT 2021 !

 

Inscrivez-vous par ici sans tarder.

 

Pour cette édition 2021, la FIEEC a eu le plaisir de renouveler son partenariat auprès de CES Unveiled Paris qui s’est tenu le 19 octobre dernier au Palais Brongniart.

En présence de Cédric O, Secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, cela a été l’occasion de montrer de quelle manière l’innovation contribue à une plus grande durabilité. « C’était formidable de vivre cette passion et de partager des points de vue sur le rôle clé que l’industrie technologique peut et doit jouer dans la création d’un avenir meilleur » a déclaré Gary Shapiro, Président de la Consumer Technology Association (CTA).

Depuis plus de 50 ans, le CES est la scène mondiale de l’innovation. Plus de 150 startups de France et des Pays-Bas ont d’ailleurs rejoint Eureka Park cette année, en plus des 1100 entreprises qui se sont engagées à exposer à Las Vegas.

Depuis que les startups françaises ont fait leurs débuts au CES 2014, leur nombre est passé de plusieurs dizaines à plus de 300 en 2020.

Treize lauréats du CES 2022 Innovation Award de France ont enfin été annoncées, allant des technologies portables axées sur la santé et des technologies vertes à l’éco-conception et à l’énergie intelligente. Ces innovations incarnent en quelque sorte l’idéal du Président de la République, Emmanuelle Macron, de « la technologie au service du grand nombre […] pour le bien commun ».

A n’en pas douter, le CES 2022 offrira aux entreprises du monde entier, et de toutes tailles, l’opportunité de lancer leurs produits, de créer des marques et de former des partenariats.

Visitez sans tarder le site du CES Tech.

Dans le contexte de crise sanitaire qui a mis l’ensemble du pays à rude épreuve, une mission d’information sur la résilience nationale a été engagée le 30 juin 2021 à l’Assemblée nationale sur les moyens d’anticiper et de s’armer face à de nouvelles menaces.  Et ce à tous les niveaux de l’organisation – sur le plan de l’ingénierie, de la logistique et des moyens mobilisés – avec l’éclairage des acteurs du territoire, soignants, entrepreneurs, industriels, force de l’ordre et associations.

Cette mission s’attache à analyser les principaux risques qui pèsent sur le pays – parmi lesquels les ruptures d’approvisionnements en énergie, le risque cyber, biologique et sanitaire ou encore les risques naturels et technologiques.. – et à évaluer la capacité des institutions, de la société mais également de l’économie et des citoyens à y faire face.

Le 15 septembre dernier, le président de la FIEEC M. Laurent TARDIF est donc intervenu pour rappeler le soutien sans faille des industries électro-technologiques pour permettre à notre pays d’être plus résilient face à une crise. D’abord, en anticipant les risques et en investissant pour être prêt le jour venu. Ensuite en maintenant les capacités de production actives et proches du territoire national, autant que possible. En soutenant en permanence l’innovation, notamment sous l’impulsion de la commande publique dans le cadre de la passation des marchés. Et enfin en misant sur la capacité de maintenance, en termes de qualité constante des équipements, de sécurité mais également de formation des professionnels. L’occasion également de rappeler combien les entreprises de l’électro-technologie s’engagent dans des objectifs de décarbonation ambitieux.

Pour visionner l’intervention de la FIEEC, accédez au replay de la table ronde (03 :20 :32’)

Après l’annulation de la précédente édition, Global Industrie revient avec plus d’ambitions que jamais. Et avec la volonté première d’aider les entreprises, et leur écosystème, à renouer avec la croissance !

Pour faciliter le parcours des visiteurs, l’édition 2021 de Global Industrie inaugure une nouvelle sectorisation composée de 15 univers, regroupant les équipements, les savoir-faire, les matières premières et les machines.

La Filière Electronique, au carrefour de la quasi-totalité des univers, occupe cette année une partie du Hall 6 avec 73 exposants représentants les différents métiers et compétences de cette industrie qui pèse 15 milliards d’euros et génère 80 000 emplois directs/170 000 emplois indirects.

Cet univers électronique accueille les entreprises exerçant leurs talents dans 4 domaines :

  • Les composants, actifs, passifs, électromécaniques, fils et câbles, leurs fabricants et distributeurs,
  • Les équipements nécessaires à la production de cartes et systèmes électroniques et leurs consommables,
  • Les périphériques et accessoires tels que les capteurs et appareils de contrôle et de test,
  • Les savoir-faire et la fabrication couvrant l’industrialisation, la fabrication de prototypes, de sous-ensembles ou ensembles complets électroniques, électromécaniques, mécatroniques, les activités de test, le bobinage, l’usinage, etc.

Au cœur de cet univers, les visiteurs seront fortement attirés par le Village électronique sous la bannière du CSF Electronique – Comité Stratégique de la Filière électronique situé au :

 

Stand institutionnel 6C84

Occupé par la FIEEC, le CSF Electronique et les syndicats ACSIEL, SPDEI et SNESE

Un programme riche de conférences et de rencontres in situ sera proposé tout au long du Salon.

Nous vous y attendons nombreux !

Pour téléchargez le programme, cliquez ici.

Pour la 11ème édition, le Prix FIEEC CARNOT de la Recherche Appliquée récompense des chercheurs ayant mené, avec une PME ou une ETI, un partenariat de recherche ayant eu un réel impact économique (i.e. augmentation du chiffre d’affaires, création d’emploi, etc.).

C’est également l’occasion pour ces entreprises de valoriser leurs partenariats avec des structures de recherche publiques, à l’occasion des Rendez-vous Carnot à Lyon au Centre des Congrès, le 18 novembre 2021.

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Dépôt des candidatures auprès de Emmanuelle Legrand : elegrand@fieec.fr

Date limite de dépôt des candidatures : jeudi 21 octobre 2021 à 17h00

Pour toute autre demande concernant le concours, merci de contacter Jacques Larrouy : jacques.larrouy@aicarnot.fr

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Consulter le règlement

Accéder au dossier de candidature (format Word modifiable)

Voir le Flyer

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Pour consulter le site du réseau Carnot : https://www.instituts-carnot.eu/

Pour plus d’informations sur les Rendez-vous Carnot : https://www.rdv-carnot.com

Comme vous le verrez, le bilan de l’activité 2020/2021 de la FIEEC confirme la poursuite des actions engagées, et le lancement de nouveaux projets, tout en maintenant un lien étroit avec nos adhérents et nos différents interlocuteurs (décideurs publics, administration, médias, partenaires publics ou privés..) autour de 3 axes clés :

  • Agir au service de la société
  • Transformer par le numérique
  • Faire réussir nos industries

Nous avons continué à imaginer des projets pour toujours mieux servir nos adhérents ; consolider voire élargir nos partenariats ; continuer à faire fonctionner nos instances statutaires en adaptant nos processus de travail et de décision grâce aux outils numériques. En mettant en place une communication dématérialisée avec la publication de e-magazines, de guides pratiques numériques, de flash d’informations réguliers ou encore de webinaires ou plateformes d’échanges adaptés au contexte.

Autant d’activités qui répondent à notre raison d’être : représenter, rassembler et accompagner les acteurs du secteur, ainsi que leurs entreprises, pour assurer les bonnes conditions d’exercice de leur activité et de leur développement. Une année particulière donc, et pleine de défis, qui n’a fait que conforter le rôle et l’utilité des corps intermédiaires que nous représentons !

Accédez au rapport d’activité 2020/2021 de la FIEEC pour revivre les temps forts de nos actions.

La FIEEC est ravie de la reconnaissance des industriels français des électrotechnologies pour cette deuxième édition de la Grande Exposition du Fabriqué en France au Palais de l’Elysée, les 3 et 4 juillet prochains. Pendant ces 2 jours, l’Excellence sera mise à l’honneur avec les entreprises qui représentent le fleuron de la fabrication française !

Sur les 2325 candidatures reçues, le comité de sélection notamment composé de la ministre déléguée chargée de l’Industrie et du ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises, a retenu 126 produits fabriqués en France dont 15% issus de l’électrotechnologie. Parmi lesquels : Auer, Brandt, Etna France, Lacroix City, Silec Cable (entité Prysmian Group), Sofi Groupe, Soitec, X-Fab…

Partout en France, et plus particulièrement dans 11 régions métropolitaines et d’Outre-mer, des entrepreneurs et ingénieurs issus de notre filière ont été sélectionnés pour leur création, invention, innovation qui façonne la vie et le quotidien des Français ! Ce large maillage territorial démontre la richesse et la diversité de notre tissu industriel, qui s’inscrit au cœur de nos territoires tout en donnant naissance à des champions de l’export dont nous pouvons être fiers.

Cette formidable vitrine qu’est le Fabriqué en France est  également un excellent moyen d’inciter les jeunes à s’engager dans les métiers de l’industrie qui sont l’une des réponses positives aux défis énergétiques et numériques.

Retrouvez l’intégralité du communiqué de presse de la FIEEC, ainsi que la liste exhaustive des produits sélectionnés.