L’édition 2024 du Prix FIEEC-Bpifrance de la Recherche appliquée est ouverte.

Ce prix récompense chaque année des chercheurs et chercheuses travaillant dans des structures publiques de recherche et dont les travaux effectués en France ont été industrialisés dans une PME ou une ETI dont le siège social est en France.

Les travaux en appelleront en priorité aux technologies de l’électricité, de l’électronique ou du numérique appliqué à la production industrielle. Les entreprises peuvent relever de tous les secteurs d’activité utilisant ces technologies.

2024 Règlement Prix FIEEC-Bpifrance Recherche appliquée

2024 Dossier candidature Prix FIEEC-Bpifrance Recherche appliquée

Jeudi 20 juillet 2023
de 8h30 à 10h00
Format 100% digital

IA GENERATIVE – CHATGPT
Quelles incidences pour nos industries ?

Rarement une révolution technologique aura submergé aussi rapidement nos sociétés. En quelques mois l’IA générative s’est introduite dans toutes les sphères économiques et personnelles et a déjà bouleversé les usages.

Néanmoins, le fonctionnement de cette technologie et les risques associés sont encore assez mal compris. Comment une IA peut-elle être générative ? Quelles sont les applications existantes et les usages envisagés ? Quelles sont les précautions à prendre, en matière de sécurité, de réglementation ou encore de droits de propriété intellectuelle ?

Et à l’échelle de l’industrie ? De nos industries ? L’embarquabilité, les modèles d’interopérabilité et la multimodalité constituent des enjeux majeurs pour nos industries et l’innovation.

 

Présentation de Marc Duranton – CEA

Présentation Rodolphe Gelin – Renault Group

Production, modernisation et transition numérique 

La révolution numérique dans le domaine du nucléaire soulève des interrogations: quelles avancées l’intelligence artificielle réserve-t-elle à ce sujet ? Quelles solutions à venir sont-elles portées par notre filière ? Comment mesurer la valeur de ces innovations digitales ?

Miniaturisation, réacteurs à neutrons rapides, à sels fondus, fusion nucléaire…toutes ces innovations participent au futur de l’industrie du nucléaire.

Un focus spécial sur l’EPR2, le pilotage à distance ou encore les jumeaux numériques seront également au programme de ce webinaire avec, bien sûr ; les perspectives de développement pour nos filières.

Avec les présentations de

Emmanuelle Galichet – Enseignante Chercheuse au CNAM

Patrick Morilhat – Délégué Programme chez EDF

Gérald Tessari – Directeur Coordination et Transformation chez EDF

La Tech, atout majeur du traitement et de la valorisation des déchets

Des machines made in France de plus en plus perfectionnées, boostées à l’Intelligence artificielle, font faire des bonds technologiques aux acteurs du tri et de la valorisation des déchets.

Comment les nouvelles technologies développées par nos filières contribuent-elles à cette révolution ? Quelles solutions hyper innovantes sont-elles déjà en application ? Comment les acteurs du recyclage voient-ils l’évolution de leur métier ? Et demain, comment aller encore plus loin ?

Présentation de Helena Henry – Sileane

Présentation d’Antoine Bourely – Pellenc ST

Métadonnées, robots médicaux, E-santé, biotechnologies, impression 3D, Deep learning, santé connectée, rôle des algorithmes… la Santé est entrée de plain pied dans l’ère du Numérique.
Avec l’Intelligence artificielle, les progrès des modèles prédictifs, l’utilisation de données massives, de la Réalité Augmentée et Virtuelle, la médecine se métamorphose.

Sommes-nous à l’avènement d’une Santé 4.0 en lien avec une Industrie 4.0 ?

Où en sont les initiatives prospectives pour des technologies encore plus Innovantes ?

C’est l’objet du webinaire que nous avons organisé le 24 novembre et dont vous pouvez retrouver les présentations ici

Consulter la présentation de l’ANS

Consulter la présentation de l’Institut d’Intelligence Artificielle en Santé CHU de Reims

Alors que la 5G se déploie dans de nombreux pays, les scientifiques ont déjà commencé à travailler sur la 6e génération de technologies de communication sans fil.

Quelles nouvelles pistes d’innovation ? Quelles technologies ? Quels nouveaux horizons la 6G ouvrira-t-elle ?

Retour sur les Rencontres de l’Innovation Technologique de la FIEEC, consacrées aux applications et à la mise en œuvre de la future 6G attendue à l’horizon 2030.

Jean-Baptiste Doré, responsable du Programme 6G et Eric Mercier, directeur adjoint Dpt Wireless du CEA Leti, avec Merouane DEBBAH, directeur de la Recherche du Technology Innovation Institute, ont présenté le périmètre d’application de la 6e génération de communication sans fil, ainsi que le calendrier prévisionnel de son déploiement, des phases d’études et de tests jusqu’à sa mise en œuvre.
Ou comment répondre à des enjeux technologiques majeurs tout en s’inscrivant dans une dimension de durabilité, de souveraineté, de sécurité et de santé.

Consulter la présentation du CEA Leti

Consulter la présentation du TIU

Le 14 avril, experts et industriels se sont réunis autour pour notre désormais habituelle rencontre de l’innovation technologique. Organisée par la FIEEC, elle portait cette fois-ci sur le train à hydrogène.

Grâce à la présentation conjointe de Philippe Tardivon (SNCF) et de Kaïs Albouchi (Alstom transport), le train à hydrogène n’a plus aucun secret pour les participants à notre Club de l’innovation technologique !

Mais quel lien avec notre transition écologique ? Il est important de savoir que l’hydrogène est considéré comme vert en fonction de la manière dont il est produit, plus précisément de comment l’électricité nécessaire à l’électrolyse de l’eau (la séparation de la molécule H2O en H et O2) est produite. Donc si l’électricité est verte, l’hydrogène est vert. C’est pour cela qu’en France, où notre mix énergétique est vertueux en termes d’émission de GES, l’hydrogène est particulièrement intéressant.

Que vient faire l’utilisation de l’hydrogène dans le cadre du transport ferroviaire ? Il est bon de savoir que 63.3% des émissions de GES sont causé par les trains TER, dont la moitié fonctionnent encore au diesel. La question qui s’est alors posée à la SNCF est « Comment décarboner notre réseau TER ? ». Il y avait alors deux possibilités : électrifier le réseau, ce qui couterait environ 1M€ du kilomètre en plaine, ou 2.5M€ du kilomètres en montagne, des sommes colossales. Il s’est alors imposé une seconde option : changer la source d’énergie des TER, pour passer à l’hydrogène.

C’est ainsi qu’est né le iLint, le train diesel devenu le premier train à hydrogène du monde. Mais comment fonctionne un train à hydrogène ?

Un train à hydrogène est propulsé par un moteur électrique dont l’alimentation est assurée par une pile à combustible, elle-même alimenté en hydrogène stocké à même le train, sous forme gazeuse. L’oxygène présent dans l’air ambiant est combiné à l’hydrogène au sein de la pile, ce qui produit alors de l’électricité pouvant faire fonctionner le moteur électrique. En somme, un train à hydrogène est un train électrique produisant sa propre électricité à bord ! Cela permet ainsi d’éviter le problème majeur du stockage de l’électricité.

Le train à hydrogène est un exemple concret d’innovation nous menant vers notre transition écologique. Mais l’utilisation de l’hydrogène ne se cantonne pas au ferroviaire, bien évidemment. Et les différentes stratégies nationales d’investissement dans l’hydrogène vert nous montre qu’à l’avenir, l’on pourrait assister à une véritable économie de l’hydrogène.

De quoi animer nos futurs Club de l’Innovation Technologique !

Pour retrouver la présentation de nos intervenants, cliquez-ici.

Le 17 février dernier, experts et industriels se sont réunis pour la 6ème rencontre de l’innovation technologique sur le thème de l’ordinateur quantique.

Grâce aux deux interventions de grande qualité de nos invités Olivier Ezratty, enseignant-chercheur à l’université Savoie Mont Blanc et Jean-François Bobier, Partner&Director chez BCG, spécialisé sur des questions deeptech, nous avons pu mettre en lumière les défis que représentent l’ordinateur quantique, mais aussi les fantasmes qu’amènent cette innovation.

Mais quelle différence entre un ordinateur classique et un ordinateur quantique ? Si tous deux sont des machines de calcul, l’ordinateur quantique effectue les calculs d’une manière différente, grâce à la superposition quantique. C’est-à-dire qu’au lieu d’utiliser les bits classiques (0 ou 1), l’ordinateur quantique va utiliser des qubits, capables d’être deux états superposés en même temps, à la fois 1 et 0.

Cette nouvelle perspective technologique requiert ainsi de nouvelles manières de travailler : des algorithmes d’une autre sorte (le quirk par exemple), qu’il faut repenser de 0, mais aussi une réflexion sur les champs d’application de cette nouvelle technologie. Du Deep learning à de l’optimisation de trajets, les promesses de l’ordinateur quantique ouvrent tout un nouveau champ des possibles.

Mais il ne faut pas pour autant croire à la « suprématie quantique » comme l’annonçait google il y a quelques années : l’impossibilité actuelle de dépasser les 50 qubits pour le moment limite drastiquement les applications de l’ordinateur quantique. Pour le moment, son application encore trop spécialisée l’empêche d’atteindre le rang de révolution technologique mais la décennie à venir est crucial, et les acteurs le savent : des universités américaines aux géants du numérique en passant par le CNRS, tous avancent leurs billes pour être les premiers à atteindre la véritable « suprématie quantique ».

Le 23 septembre dernier, experts et industriels se sont réunis autour de la 2e édition des Rencontres de l’Innovation technologique organisée par la FIEEC sur le thème « Civil-militaire : innovations croisées ».

Autour de 2 interventions de grande qualité pour MC2 Technologies et ATOS, avec l’aimable participation du GICAT, nous avons pris la mesure des spécificités liées au marché de la défense : exigences de technologies de pointe, importance de la veille, collaboration avec l’excellence doctorale française, nécessité de fonctionner en mode agile… tout en découvrant les enjeux d’hyperfréquence, de détection et de brouillage des données.

Les questions du cloud computing et des systèmes de calculateur quantique ont également été abordées avec l’intervention de ATOS, qui développe des technologies civiles et les adapte pour l’environnement de défense.

Le numérique est plus que jamais un démultiplicateur de force, avec un avantage lié à la maitrise de l’information dans un volume toujours croissant de données, qui nécessite le recours à l’Intelligence Artificielle. Le digital est en quelques sorte devenu un « champ de bataille » avec un potentiel de développement énorme, et en miroir de nombreux enjeux liée à la cyberguerre autour notamment des objets intelligents.

Parmi les applications émergentes : l’électronique de défense, la cybersécurité, le big data ou encore la puissance de calcul avec les simulateurs quantiques. Incontestablement, pour les industries de nos filières, la défense reste un domaine de développement et de conquête de marchés !

Retrouvez la présentation de Christophe GAQUIERE, Co-fondateur de MC2 Technologies

Retrouvez la présentation de Stéphane JANICHEWSKI, Vice-président du groupe ATOS

 

La FIEEC a le plaisir de vous convier à sa 2e Rencontre de l’Innovation Technologique sur le thème « Civil – Militaire : Innovations croisées » en présence de grands témoins qui partageront en exclusivité leur vision et leur expérience autour des tendances technologiques de leur secteur :

Le Jeudi 23 septembre
de 18h à 19h30
En format 100% digital

Je m’inscris


Avec l’intervention de :

Christophe GAQUIERE
MC2 Technologies
Co-fondateur – Professeur à l’Université de Lille
Hyperfréquences – Détection et Brouillage – Enjeux de sécurité

Stéphane JANICHEWSKI
ATOS
Vice-Président du Groupe
Responsable des enjeux de Défense
Digital & Techniques de l’Innovation

Et l’aimable participation de :

Alexandre BURST, Responsable Innovation du GICAT
Laurent de JERPHANION, Directeur marketing d’ATOS

Ce webinaire sera introduit et animé par Benoit LAVIGNE, Délégué général de la FIEEC