La France compte 27 millions de locaux éligibles aux offres FttH au deuxième trimestre 2021, soit plus de 6 millions en un an. Quant au nombre d’abonnements FttH, il a d’ores et déjà passé la barre des 12,4 millions, soit plus d’1 million en un trimestre. Dans ce contexte, Objectif Fibre s’est mobilisé avec l’ensemble de ses partenaires pour recenser les bonnes pratiques concernant l’installation de la fibre optique dans tout projet immobilier neuf ou rénové, toutes zones confondues.

« Avoir un accès au Très haut Débit avec la Fibre Optique dans son logement, c’est bien ! Mais avoir un accès qui fonctionne, c’est mieux ! »

La plateforme Objectif Fibre s’est emparé de la question avec l’ensemble de ses partenaires autour d’un webinaire qui s’est tenu le 7 décembre dernier.

Réunissant près de 300 professionnels et experts de la filière, cela a été l’occasion de répondre à cette problématique étape par étape : quelles sont les phases d’un raccordement réussi ? quelles sont les difficultés opérationnelles rencontrées ?quelles pistes de progrès envisager ?… En présence de Laure de La Raudiere, présidente de l’Arcep, de Sylvain Massonneau, vice-président du Pôle Habitat FFB, et de Frederic Motta, directeur général de WiredScore.

Avec comme point d’orgue la présentation du Guide 2022 regroupant l’information fiable, complète et bien calibrée pour réussir le raccordement de tous les immeubles neufs ou rénovés.

«Avec ce nouveau guide, rédigé de façon collaborative par l’ensemble des acteurs de la filière, Objectif Fibre met à la disposition de tous les acteurs un référentiel partagé de bonnes pratiques pour un déploiement pérenne et de qualité de la fibre dans les immeubles collectifs ou mixtes dans le neuf comme en rénovation » rappelle Marc LEBLANC, Président d’Objectif Fibre.

Accédez au Guide Objectif Fibre en accès libre : https://bit.ly/3y8UsZJ
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Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion et Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, ont signé ce jour avec Nicolas Guérin, président du comité stratégique de la filière des infrastructures numériques, un protocole-cadre national d’engagement de développement de l’emploi et des compétences (EDEC) pour la filière des infrastructures numériques.

La France, par l’action de l’Etat, des collectivités et des opérateurs de communications électroniques, est pleinement engagée vers la généralisation de la fibre prévue en fin 2025. Si cet effort industriel est unique en Europe, la filière[1] doit anticiper le ralentissement progressif des besoins en main d’œuvre à mesure de l’achèvement des déploiements, avec un pic d’emplois à mobiliser en 2022 (près de 40 000).

A l’inverse, la généralisation du très haut débit va permettre la création de nouveaux usages relevant du déploiement de la 5G, des territoires connectés, de l’internet des objets ou encore de data centers, qui entraîneront la formation de nouveaux écosystèmes industriels et la création de nouveaux métiers. Cette transition entre les besoins d’aujourd’hui et de demain doit être préparée, notamment en anticipant le besoin en compétences et en facilitant les mobilités professionnelles vers les emplois du secteur.

Ce nouvel accord d’engagement de développement de l’emploi et des compétences, qui fait suite à celui concernant la fibre optique (2017-2020), s’inscrit dans cette ambition. Il permettra de sécuriser l’emploi et les passerelles de formation vers les nouveaux métiers des infrastructures numériques. 13 000 entreprises, dont une majorité de TPE-PME, et plus de 140 000 emplois directs sont concernés.

 « Il est essentiel pour le Gouvernement d’accompagner le déploiement de l’innovation dans la filière des infrastructures numériques, qui irrigue l’ensemble de notre économie, par une politique active en matière d’emploi et de formation. », déclare Elisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion.

« Le défi des compétences représente un enjeu-clé pour l’ensemble de la filière française des infrastructures numériques, qui sera confrontée à des besoins nouveaux dans les années à venir. La signature de ce protocole est décisive pour anticiper et préparer cette transition », déclare Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques

« Je me félicite de la signature de ce nouvel EDEC qui témoigne de la capacité de la filière des infrastructures numériques à se projeter dans l’avenir. […] Cet engagement témoigne par ailleurs du dynamisme et du poids de notre filière, puisque cet accord-cadre bénéficiera à environ 13 000 entreprises et plus de 140 000 emplois directs, pour environ 40 milliards d’euros de chiffre d’affaires » indique Nicolas Guérin, président du comité stratégique de la filière des infrastructures numériques.

[1] Branches du Bâtiment et des Travaux Publics (FFB, FFIE, FNTP, SERCE), branches de la Métallurgie (UIMM, FIEEC, SYCABEL, AFNUM, IGNES), branche des Télécommunications (HUMAPP, FFTélécoms, INFRANUM). Branches du Bâtiment et des Travaux Publics (FG-FO Construction, CFE-CGC BTP, FNCB CFDT, BATI-MAT-TP CFTC, FNSCBA – CGT), branche de la Métallurgie (CFE-CGC, FO Métallurgie, C.F.D.T., C.G.T.), branche des télécommunications (F3C-CFDT, CFTC Media+, FCCS CFE-CGC, FO Com, CGT-FAPT).

 

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A l’occasion des « Rendez-vous Carnot » qui se sont déroulés à Lyon les 17 et 18 novembre, les deux lauréats du prix FIEEC Carnot de la Recherche Appliquée 2021 ont été dévoilés. Ce prix récompense des chercheurs ayant mené un partenariat de recherche avec une PME ou une ETI et ayant eu un réel impact économique.

Pour Joseph Puzo, Vice-Président de la FIEEC en charge de l’innovation : « C’est de l’innovation dont ont besoin les PME tant pour se développer face à la concurrence que pour résister aux crises économiques. Ce Prix […] récompense des chercheurs qui font profiter les PME de leurs travaux académiques et qui contribuent ainsi à la relance industrielle. ». Et le Président de l’Association des Instituts Carnot d’ajouter « le Prix FIEEC CARNOT illustre parfaitement la mission du réseau Carnot, menée depuis maintenant 15 ans sur l’ensemble du territoire : permettre aux entreprises de s’appuyer sur la recherche partenariale comme moteur de croissance et de compétitivité ».

Le 1e prix a été décerné à Didier Perrin de l’institut Carnot M.I.N.E.S, professeur à l’IMT Mines Alès (Laboratoire C2MA Centre des Matériaux des Mines d’Alès) pour son partenariat avec Pellenc Selective Technologies. Cette PME de 220 personnes, créée en 2001 et dirigée par Jean Henin, s’est hissée ces dernières années au rang de leader des équipements de tri de déchets, en France, Espagne, Italie et Japon. Réalisant 75% de son chiffre d’affaires à l’international, Pellenc ST poursuit son essor en recherchant, à travers des technologies avancées, des solutions aux problématiques complexes d’identification et de séparation des nombreux types de matériaux présents dans les déchets.

Le partenariat visait à apporter des solutions nouvelles pour le tri et le recyclage des déchets plastiques d’équipements électriques et électroniques (DEEE) ainsi que des résidus de broyage automobile (RBA). Les plastiques sombres en forte proportion dans ces gisements (près de 50% en masse) sont impossibles à séparer par les méthodes spectroscopiques traditionnelles. La solution a combiné l’utilisation d’intelligence artificielle en amont du tri et l’optimisation des taux d’impuretés et d’erreurs de tri acceptables, en aval, en relation avec la fiabilisation d’une machine de tri Moyen-Infrarouge (MIR).

Le 2e prix a été attribué à Giorgio Santarelli, ingénieur de recherche CNRS au Laboratoire LP2N, pour son projet de collaboration initié avec Azurlight Systems. Créée par Nicholas Traynor en 2010, Azurlight Systems est une entreprise spécialisée dans le domaine des sources laser en régime continu monofréquence. L’entreprise, qui compte 27 collaborateurs, développe et produit des sources de forte puissance et à bas bruit pour des applications scientifiques et industrielles. Azur Light est devenu le référent mondial des sources laser à bas bruit de forte puissance pour les applications de physique quantique notamment le piégeage et refroidissement d’atomes.

Le partenariat porte sur l’étude et développement de lasers à fibre stables en amplitude et fréquence, sur la recherche de sources laser nouvelles à forte vocation scientifique et industrielle et sur l’étude et réalisations d’architectures innovantes pour laser continus agiles pour le balayage en fréquence dans la gamme spectrale allant de l’infrarouge au visible et à l’ultra-violet. Au-delà des objectifs scientifiques, ce partenariat a permis de recruter et de former des talents pour les besoins d’Azur Light Systems.

 

De gauche à droite : Giorgio Santarelli (2e prix) – Philippe Véron (Président de l’Association des Instituts Carnot) – Nicolas Grotus (Responsable Recherche chez Pellenc ST) – Didier Perrin (1e prix) – Emmanuelle Legrand (Responsable communication, FIEEC) – Jacques Larrouy (Responsable des relations industrielles, association des instituts Carnot) – Nicholas Traynor (dirigeant de Azurlight Systems)

Le 28 octobre dernier, experts et industriels se sont réunis pour la 3ème « rencontre de l’Innovation Technologique » organisée par la FIEEC sur les thèmes de l’innovation et de la résilience.

Grâce à 2 interventions passionnantes, la première de Henry Seydoux, président de la société Parrot et la seconde de Joseph Puzo, notre Vice-Président chargé de l’innovation et PDG de AXON’CABLE, nous avons pu faire les lumières sur les liens étroits entre résilience et innovation.

Dans les domaines technologiques, l’innovation est capitale. Elle est même à la base de ce que doit être une entreprise technologique : répondre au besoin de son époque tout en anticipant ceux de demain.

Mais quel rapport avec la résilience me direz-vous ?

La crise sanitaire nous offre un exemple intéressant et inépuisable en termes de leçon : comment une crise peut venir bouleverser toute une économie, jusque dans nos manières de travailler et mettre à rude épreuve la résilience des entreprises. Reste alors une question : comment faire face ?

Pour sortir d’une crise plus vite que ses concurrents, il est essentiel de ne pas se reposer sur ses appuis : miser sur l’export et sur des marchés divers, car les crises n’impactent jamais l’ensemble des secteurs en même temps. La résilience d’une entreprise dépend de sa capaciter à se diversifier et à se réinventer. Réinventer ses technologies, mais aussi ses manières de travailler. Comment créer du lien social malgré le télétravail, comment rester créatif en restant chez soi ?

Les crises sont cycliques, il faut avoir de quoi les encaisser quand elles arrivent et ne jamais se reposer sur ses lauriers. Incontestablement, la résilience de nos entreprises technologiques dépend de leur capacité à innover.

Retrouvez la présentation de Henry SEYDOUX, Président et Co-fondateur de Parrot

Retrouvez la présentation de Joseph PUZO, PDG de AXON’CABLE

La FIEEC est partenaire de l’édition 2021 des Rencontres Internationales de la French Tech (RIFT) de Business France qui aura lieu le mercredi 17 novembre prochain.

Malgré le contexte, les entreprises de la French Tech ont montré en 2020 et 2021 leur dynamisme, leur agilité et leur résilience, notamment à l’export. Beaucoup d’entre elles ont réussi à saisir des opportunités liées à l’accélération importante de la digitalisation des économies.

La French Tech semble aujourd’hui en en pole position européenne pour la reprise. Evolution positive de l’activité export, climat des affaires favorable, levées de fonds record et nouvelles licornes… autant de signaux positifs qui semblent présager de la capacité de l’écosystème à continuer son accélération en 2022.

Au programme :

  • Une plénière centrée sur un état des lieux de la tech dans le monde et des opportunités émergentes à saisir, avec la présence dans le panel de Clara CHAPPAZ, nouvelle Directrice de Mission French Tech,
  • Des ateliers qui s’intéressent à maitriser ses risques à l’international avec un zoom sur les Etats-Unis et les perspectives à l’international du très haut débit,
  • Des RDV en one-to-one (physiques ou virtuels) avec plus d’une quinzaine d’experts pays et tech sur le Nigeria, la Turquie, la Suisse, l’Allemagne, les Etats-Unis, l’Espagne, le Portugal, le Danemark, l’Islande, la Finlande, l’Estonie, la Suède, la Roumanie, la Cote d’Ivoire, l’Autriche, la Pologne, le Moyen-Orient, le Royaume-Uni et l’Irlande.

 

 

Plus que la reprise, c’est la conquête que visent aujourd’hui les entreprises innovantes françaises. Participer à l’émergence de leaders technologiques européens en aidant les entreprises à se projeter de nouveau à l’international plus rapidement et plus efficacement. Tel est l’objectif des RIFT 2021 !

 

Inscrivez-vous par ici sans tarder.

 

Pour cette édition 2021, la FIEEC a eu le plaisir de renouveler son partenariat auprès de CES Unveiled Paris qui s’est tenu le 19 octobre dernier au Palais Brongniart.

En présence de Cédric O, Secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, cela a été l’occasion de montrer de quelle manière l’innovation contribue à une plus grande durabilité. « C’était formidable de vivre cette passion et de partager des points de vue sur le rôle clé que l’industrie technologique peut et doit jouer dans la création d’un avenir meilleur » a déclaré Gary Shapiro, Président de la Consumer Technology Association (CTA).

Depuis plus de 50 ans, le CES est la scène mondiale de l’innovation. Plus de 150 startups de France et des Pays-Bas ont d’ailleurs rejoint Eureka Park cette année, en plus des 1100 entreprises qui se sont engagées à exposer à Las Vegas.

Depuis que les startups françaises ont fait leurs débuts au CES 2014, leur nombre est passé de plusieurs dizaines à plus de 300 en 2020.

Treize lauréats du CES 2022 Innovation Award de France ont enfin été annoncées, allant des technologies portables axées sur la santé et des technologies vertes à l’éco-conception et à l’énergie intelligente. Ces innovations incarnent en quelque sorte l’idéal du Président de la République, Emmanuelle Macron, de « la technologie au service du grand nombre […] pour le bien commun ».

A n’en pas douter, le CES 2022 offrira aux entreprises du monde entier, et de toutes tailles, l’opportunité de lancer leurs produits, de créer des marques et de former des partenariats.

Visitez sans tarder le site du CES Tech.

Marie-Céline RICHARD (Legrand) succède à Sophie MAGAUD (Groupe Atlantic) à la Présidence de la Commission juridique de la FIEEC.

L’une des principales missions de cette Commission est de suivre l’élaboration des textes légaux et règlementaires – européens et nationaux – susceptibles d’avoir de forts impacts sur le fonctionnement des industries représentées par notre Fédération. La Commission juridique de la FIEEC a également un rôle clé dans la compréhension et l’interprétation des nouvelles mesures en vigueur pour faciliter leur mise en œuvre, à l’appui des échanges réguliers qu’elle entretient avec les différentes administrations et autorités de contrôle.

Dans le Groupe Legrand depuis 2004, nommée au poste de Responsable juridique France de Legrand depuis 2017 et membre de la Commission juridique de la FIEEC depuis plusieurs années, c’est tout naturellement que Marie-Céline RICHARD a accepté d’en reprendre la Présidence.

Pour 2021-2022, plusieurs textes feront l’objet d’une vigilance particulière et notamment : les projets de règlements européens sur les marchés et services numériques (DMA & DSA), la révision du règlement d’exemption sur les accords verticaux (VBER) ou encore la proposition de la Commission européenne sur le devoir de vigilance. Au niveau national, la mise en œuvre des lois Antigaspillage pour une économie circulaire (AGEC) et « Climat Résilience » reste au cœur des préoccupations.

« Dans un contexte sensible de sortie de crise sanitaire et de rupture d’approvisionnement de certains matériaux essentiels pour nos industries, l’appui de la Commission juridique de la FIEEC est fondamentale. Cela permet aux entreprises d’identifier très concrètement les impacts des mesures envisagées, de signaler les dispositions source de forte insécurité juridique et de contribuer à l’élaboration d’un cadre juridique adapté. 

Par ailleurs, les entreprises adhérentes aux syndicats membres de la FIEEC sont confrontées à une multitude de règlementations internationales, européennes et nationales faisant l’objet de travaux de révision permanents. La vigilance de la Commission juridique sur les évolutions à venir et l’analyse des enjeux pour nos industries est un précieux soutien. »

Depuis le 1e octobre, le grand public peut redécouvrir la richesse de la Fée Électricité au Musée d’Art Moderne de Paris (MAM) grâce à de nouveaux outils numériques élaborés grâce à la contribution scientifique et au concours financier du réseau de la FIEEC.

Inauguré à l’occasion d’une soirée officielle de lancement réunissant l’ensemble des partenaires et mécènes, ce dispositif immersif permet de comprendre la portée scientifique et sociétale de l’œuvre de Raoul Dufy !

Crédits ©:  Raoul Dufy, La Fée Électricité, 1937, au Musée d’Art moderne de Paris ADAGP, Paris, 2021 – Photographe : Fabrice Gaboriau

 

Grâce à une importante contribution scientifique pour nourrir le contenu du dispositif, et à la mobilisation généreuse de notre réseau, un site dédié à la Fée Électricité est dorénavant disponible en français, anglais mais aussi japonais. Avec une visite à 360° de la fresque et l’accès aux biographies complètes des inventions des 108 savants.

Grâce à ce nouveau dispositif numérique, le visiteur peut désormais découvrir la Fée Electricité autour de trois parcours – dont l’un scientifique – l’invitant à découvrir les 22 savants qui ont joué un rôle essentiel dans l’histoire de l’électricité et de la science.

Comme temps fort de ce lancement, un Colloque Arts et Sciences s’est par ailleurs tenu le même jour réunissant des spécialistes de la science et de l’histoire de l’art, pour dialoguer autour des liens entre ces deux disciplines.

 

Venez découvrir le site dédié à la Fée Electricité.
Retrouvez le programme du Colloque Arts et Sciences.
Visionnez tout ou partie du replay du Colloque.

Le 23 septembre dernier, experts et industriels se sont réunis autour de la 2e édition des Rencontres de l’Innovation technologique organisée par la FIEEC sur le thème « Civil-militaire : innovations croisées ».

Autour de 2 interventions de grande qualité pour MC2 Technologies et ATOS, avec l’aimable participation du GICAT, nous avons pris la mesure des spécificités liées au marché de la défense : exigences de technologies de pointe, importance de la veille, collaboration avec l’excellence doctorale française, nécessité de fonctionner en mode agile… tout en découvrant les enjeux d’hyperfréquence, de détection et de brouillage des données.

Les questions du cloud computing et des systèmes de calculateur quantique ont également été abordées avec l’intervention de ATOS, qui développe des technologies civiles et les adapte pour l’environnement de défense.

Le numérique est plus que jamais un démultiplicateur de force, avec un avantage lié à la maitrise de l’information dans un volume toujours croissant de données, qui nécessite le recours à l’Intelligence Artificielle. Le digital est en quelques sorte devenu un « champ de bataille » avec un potentiel de développement énorme, et en miroir de nombreux enjeux liée à la cyberguerre autour notamment des objets intelligents.

Parmi les applications émergentes : l’électronique de défense, la cybersécurité, le big data ou encore la puissance de calcul avec les simulateurs quantiques. Incontestablement, pour les industries de nos filières, la défense reste un domaine de développement et de conquête de marchés !

Retrouvez la présentation de Christophe GAQUIERE, Co-fondateur de MC2 Technologies

Retrouvez la présentation de Stéphane JANICHEWSKI, Vice-président du groupe ATOS